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Marie-Laure. Stéphan, 22 ans (moins dix jours) après. « Que reste t-il de cet immense amour pour Stéphan mon premier né, 22 ans moins 10 jours plus tard : un cahier, un texte que je pourrai encore écrire mot pour mot aujourd’hui... Et même si je ris, et même si ma vie est belle, au fond de moi cette blessure cachée qui, parfois, ressurgit... »
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Muriel, Yannick, 32 ans après. « J’avais 30 ans, lorsque j’ai fait ce portrait, comme un arrêt sur image, photographier ce moment, je ne pourrai plus donner la vie. J’attendais un enfant, tu devais naître en février 1978. Une histoire de tendresse, de complicité, un combat pour la vie, tel les sentiments se mêlent, dans des coeurs petits ou grands, les battements sont les mêmes, la différence est au regard de ceux qui ne l’ont pas vécu. »
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Muriel, Yannick, 32 ans après. « Ce tableau représente notre histoire, ces moments qui ont laissés leurs empreintes, en image, en hommage à mon petit garçon Yannick, mort in utero en 1977, le 5 décembre. En 2005, je rencontre l’association L’enfant Sans Nom qui me permet de libérer ma souffrance, ma culpabilité, sans être jugée. En exprimant mes sentiments, l’amour de mon enfant. Accomplir ce dont je n’avais pu, durant ces années. Souffrance, Maternité, Maman, Enfant…Plus jamais l’oubli. »
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Sylviane. « Petit bébé », 34 ans après Nathalie. Emilie, 10 mois après.
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Sylviane. « Petit bébé », 34 ans après Nathalie. Emilie, 10 mois après. « Partout où nous allons, son papa et moi, nous pensons à elle, cela nous arrive de ramener quelque chose. De petits symboles que nous déposons au jardin des souvenirs et chez nous, sorte de lien entre elle et nous. »
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Élisa et ses jumelles, Maëlle et Yovanie, 10 mois après. Les polaroids sont le seul souvenir de ses filles.
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Aurélia. Lou, 1 an et demi après. « Le doudou que nous t’avions acheté avant ta naissance, nous avons dormi, ton Papa et moi avec, après ton départ… Nous nous sentions plus proches de toi… Aujourd’hui, j’associe ma passion, « celle d’être pompier », à toi et à ce doudou… Elle m’a aidée à surmonter ton départ et ton absence… ».
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La famille d’Alan. 2 ans et demi après. « Mon fils, ma fierté : Portrait d'Alan réalisé à partir des photos que son papa a eu le courage de prendre ce jour-là ».
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La famille d’Alan. 2 ans et demi après. « L'urne. Un si petit objet qui représente tant de choses pour nous. »
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La famille d’Alan. 2 ans et demi après.
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Marie-Laure. Stéphan, 22 ans (moins dix jours) après. « Du peu qu'il reste aux souvenirs qui s'estompent, même l'odeur devient évanescente...et pourtant, elle réchaufferait tant mon coeur et mon corps parfois..»
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Nadine. Lionel, 27 ans après.
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Nadine. Lionel, 27 ans après. Les vêtements aux traces de sang encore visibles
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Sylviane. « Petit bébé », 34 ans après Nathalie. Emilie, 10 mois après. « La douleur est la même : on n'oublie jamais. Mais nos petits bébés sont dans nos coeurs. Nathalie : Il est tellement difficile d'être comprise et reconnue dans son deuil et sa maternité. Moi, j'ai eu de la chance : ce que maman n'a pas reçu à l'époque, elle me l'a donné. »
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Fleur et sa soeur jumelle
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Gaëlle, sa mère et sa fille. Eléonore, 1 an et demi après. « Poupées russes et gestation... Poupées russes et filiation...Paroles d'une grandmère, avec tout son amour : Petite Eléonore, tu as vécu à l'ombre de notre monde mais à la lumière de l'amour que tes parents, tes grands frères et ta grande soeur t'ont donné. Ils t'ont rendue vivante de façon si touchante et si vraie, ils t'ont tellement aimée... Tu es inscrite dans notre coeur, petite Eléonore. »
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Gaëlle, sa mère et sa fille. Eléonore, 1 an et demi après. « Ce sont toutes les choses précieuses qui me font penser à ma petite soeur Eléonore »
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Gaëlle, sa mère et sa fille. Eléonore, 1 an et demi après. « Ce sont toutes les choses précieuses qui me font penser à ma petite soeur Eléonore »
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Gaëlle, sa mère et sa fille. Eléonore, 1 an et demi après. La boite à trésor dont la forme rappelle le cercueil d’Eléonore.
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Gaëlle, sa mère et sa fille. Eléonore, 1 an et demi après.
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Edwige. Ulysse, 14 mois après. « Parce qu'Ulysse n'aura vécu que 9 mois et 35 jours, écrire permet de lutter contre l'oubli. Laisser couler de l'encre, semblable à des larmes de mots, permet aussi de se délester d'un chagrin trop souvent contenu. »
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Edwige. Ulysse, 14 mois après. « Une sirène en ivoire ancien pour le petit Ulysse. Une sirène sculptée par son Papa, comme un chant d'Amour à un enfant qu'on aura si peu connu. »
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Bulle et Thierry. Violette, 3 ans après. « Un jour, ton papa, pour qui tu comptes énormément, m’a offert une étoile à ton nom. Nous avons comme cela plein de petits symboles qui nous font penser à toi, Ton départ a renforcé notre amour, il lui a donné une force magique. »
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Bulle et Thierry. Violette, 3 ans après. " "« Violette, petite fée de nos jours, Tu es partie voilà trois ans déjà, voilà trois ans seulement La terre a continué de tourner, et tout le monde a oublié. Des amis sont partis, la famille n’a pas compris et nous nous sommes sentis complètement abandonnés dans une solitude morale très forte. Voilà pourquoi papa et moi avons eu une soif de reconnaissance exacerbée à ton égard. Finalement, tu n’existes nulle part ailleurs que dans nos coeurs."Cette soif de reconnaissance était si grande que très vite l’idée d’un tatouage est venue titiller nos esprits. Quand nous nous sommes mariés, nous voulions nos trois enfants à nos côtés, cela en était devenu « vital ». Voilà le pourquoi de ce tatouage, pour que ma chair soit dans ma chair, pour que tu sois gravée en moi telle une cicatrice indélébile, une empreinte à vie. Violette, tu fais partie intégrante de nos vies, de nos corps, de nos coeurs à tout jamais. A toi, notre petite fille au delà de la vie."
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Aurélia. Lou, 1 an et demi après. « Le jour de ta naissance, un « médecin » t’a manqué de respect et a voulu t’arracher de moi d’une façon impossible à imaginer, j’en ai beaucoup souffert… Ses mots m’ont terriblement blessée, mais aujourd’hui j’avance… Tu es né mon Amour et tu as été pour moi la plus belle rencontre de toute ma vie, je vois la vie différemment aujourd’hui et c’est grâce à toi… »
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Audrey et Fabien. Colin, 3 mois après. « À quoi nous raccrocher quand on a eu si peu de temps ? Une amie m’a offert ces ailes d’ange et je crois qu’elle avait tout compris. J’avais besoin de ce petit symbole pour pouvoir avancer. »
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